20060528

 
Comment bouger en été

Bonjour chers auditeurs! Comme vous avez vu je me suis éloigné un tout petit peu de la Fièvre Madiaba pendant ces semaines recentes.

Parfois il m'arrive l'idée de grogner en anglais mais ça passe vite après quelques essais. Drôle pourtant comment un anglophone comme moi ne puisse communiquer qu'en langue étrangère ses conseils au champ de la musique. Et il me semble d'après un sondage tout scientifique que mes auditeurs soient presque tous de l'anglophonie aussi. Donc esperons-nous un certain frisson d'apprendre les nouveaux morceaux par rapport de la langue française?

Ces idées se larguent facilement quand je pense à mon sujet d'aujourd'hui: la Lily Allen, chanteuse britannique toute fraiche, toute nouvelle, toute prête à nous fournir la bande originale sonore de l'été qu'on commence à entamer.

Mais qu'est-ce qu'on demande de ses "morceaux d'été" ? Moi je ne sais pas tellement—je me rappelle un de ces soi-disant chansons, "Summer Never Ends," de Northern State, un trio de rap féminin originaire de Long Island, NY. Et pourtant mon moment plus rencheri de l'écoute de cette chanson ? C'est à la sortie du stationnement de l'IKEA d'Elizabeth, New Jersey en voiture de location pleine de meubles. Pas d'été non plus; c'était au mois de février 2005. Quel divertissement estival !

Carolina, ma spécialiste sur ces affaires de goût de musique, m'est d'accord pourtant que la fonction d'une telle chanson, c'est modeler les voeux. Certains souhaitent de jours sans cesse à la plage, les trajets en bagnole ouverte, le soleil qui brille sans brûler, les nouvelles connaissances, les baiser volés, ainsi de suite... Alors on met sa chanson et puis les telles choses arrivent.

Donc pour aboutir à ces plaisirs estivaux je te conseille à pleine vitesse les morceaux de Lily Allen. Elle chante la vie quotidienne britannique de la XXIème siècle comme The Streets mais toujours avec un sourire. Elle chante les affirmations féminines comme M.I.A. mais Lily ne fait pas mine de tirer au fusil. Elle chante les faits-divers de la sociète comme Nellie McKay mais une Nellie bien trempée aux rythmes de ska et de blue beat et puis laissée à côte secher au soleil antillais. Elle chante l'amour fou comme Clarika mais en argot anglais.

Je vous fournis, chers auditeurs, trois sélections de son oeuvre: LDN, Sunday Morning, and Knock 'Em Out. Pour en payer une propre copie toi-même il faut attendre jusqu'en juillet. Et me demandes-tu comment moi je les ai trouvées ? Mon ami néerlandais Jan m'a invité à son cercle d'échange de morceaux et puis Hera, une des membres, nous a conseille Lily. Donc ça passe de l'Angleterre, aux Pays-Bas, à New-York, et puis chez toi. Vraie contagion pareille à la Fièvre Madiaba !

Eblouissez-vous et beaux ondes d'été !

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